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LE BLEYMARD

Ce haut-lieu où naissent les fleuves.

Altitude :

1069 m.

photos

Niché à l’intersection de la route qui mène du Goulet au Mont Lozère et de celle qui longe la vallée du Lot, Le Bleymard a un petit air auvergnat : la disposition du village, l’usage du granite, la forme et le gris doré des toits, sans oublier les vastes pâturages et l'exploitation du bois.

L’église actuelle a remplacé une chapelle des pénitents du XVIIIe siècle. Elle possède 4 travées et les courts bras du transept forment deux chapelles. La statue en bois de la vierge à l’enfant vient de Saint-Jean du Bleymard.

A gauche de l’église, la Tour de Pelargas, voit sa porte couronnée d’un arc en plein cintre, surmonté d’un fronton triangulaire assez original. C’est aujourd’hui la mairie. De l’autre côté de la rivière, une vieille bâtisse en L, à tour centrale fut jadis une caserne de gardes mobiles. D’autres maisons couvertes de lauzes du Tournel apportent son cachet au village.

Le fils du notaire du Bleymard, Henri Rouvière, né en 1875, dans « ce haut-lieu où naissent les fleuves et où l’on respire une odeur d’éternité » fut un grand anatomiste de la faculté de médecine de Paris. Ses ouvrages font référence. En 1956, 4 ans après sa mort, on lui dressa une stèle à l’entrée du village.

C'est le 27 septembre 1878 que Robert Louis Stevenson traverse Le Bleymard au cours de son Voyage avec un âne dans les Cévennes.

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